Citas

"La privatisation des richesses et des ressources naturelles d’un pays en échange d’investissements étrangers constitue un grand crime et équivaut au bradage bon marché, quasi gratuit, des moyens de vie des peuples du tiers monde et les conduit à une nouvelle forme de recolonisation plus commode et plus égoïste dans le cadre de laquelle les dépenses d’ordre public et d’autres essentielles, assumées autrefois par les métropoles, seront à la charge des autochtones".