Fidel
Soldado de las Ideas
Nous ignorons à peu près tout non seulement de l’espèce humaine, mais encore de ses formes d’expériences infinies. Jusqu’aux empreintes digitales de jumeaux univitellins nés d’un même ovule finissent par se différencier au fil des années. Ce n’est pas pour rien que les États-Unis, le pays impérialiste le plus puissant, se bernent eux-mêmes quand ils assument comme doctrine un paragraphe de la Déclaration universelle des droits de l’homme : Tous les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droits. Ils sont doués de raison et de conscience et doivent agir les uns envers les autres dans un esprit de fraternité».
Autre point important : dans son allocution, Obama utilise des phrases on ne peut plus doucereuses: « Il est temps de laisser le passé derrière nous. Il est temps de fixer ensemble l’avenir – un futuro de esperanza. Et ça ne sera pas facile, il y aura des reculs. Ça prendra du temps. Mais mon séjour ici à Cuba renouvelle mon espoir et ma confiance dans ce que fera le peuple cubain. Nous pouvons faire ce voyage en amis, en voisins, en famille, ensemble. Sí se puede. Muchas gracias. »
Presque toutes les religions du monde – c’est triste à dire – ont souffert la destruction des guerres et leurs terribles conséquences, et y consacrer les plus grandes énergies. L’importance singulière de la rencontre entre le pape François et le patriarche Cyrille à La Havane, c’est qu’elle a fait naître l’espoir chez les peuples du monde.
Question.- Bonsoir, président. Vous venez de rêver, à la clôture du Sommet, d'une Amérique ibérique, d'une Amérique latine plus unie, et de souligner que la crise pouvait y être freinée. Espérez-vous que ces contraintes ne pèsent plus au Sommet de La Havane ?
Fidel Castro, jeune avocat de 27 ans, assure lui-même sa défense lors du procès engagé contre lui après l'attaque, le 26 juillet 1953, de la caserne Moncada à Santiago de Cuba, quireste dans les mémoires le signal annonciateur de la Révolution cubaine. Sa plaidoirie fait événement et est l'un des manifestes de ce que l'on pourrait appeler le "fidelisme" en ce qu'il annonce le programme des révolutionnaires.
Je les ai reçus samedi 28 février, soixante-treize jours après qu’ils ont foulé la terre cubaine. Trois d’entre eux avaient déjà passé seize longues années de leur éclatante jeunesse à respirer l’air humide, fétide et répugnant des cachots yankees après avoir été condamnés par des juges véreux.
On fêtera après-demain, 9 mai, le soixante-dixième anniversaire de la victoire du peuple soviétique à l’issue de la Grande Guerre patriotique. Compte tenu de la différence d’horaires, je rédige ces lignes tandis que les soldats et officiers de l’armée de la Fédération de Russie doivent sûrement répéter la cérémonie, pleins d’orgueil, sur la Place rouge de Moscou, au pas rapide et martial qui les caractérise.
Discours prononcé par le commandant en chef Fidel Castro Ruz lors de la Conférence des Nations Unies sur l’environnement et le développement, tenue à Rio de Janeiro (Brésil) le 12 juin 1992 et de la clôture de la « Conférence mondiale Dialogue des Civilisations. L’Amérique latine au XXIe siècle: l’université et l'originalité », au Palais des Congrès, le 30 mars 2005. Il comprend une introduction faite par l'auteur.
D’une part, le président Hugo Chávez Frías, au nom de la République bolivarienne du Venezuela, De l’autre, Fidel Castro Ruz, président du Conseil d’Etat, au nom de la République de Cuba, Réunis à La Havane le 14 décembre 2004, à l’occasion du cent quatre-vingtième anniversaire de la glorieuse victoire d’Ayacucho et de la convocation du Congrès amphictyonique du Panama, Ont envisagé d’élargir et de modifier l’Accord de coopération intégral entre Cuba et le Venezuela, souscrit le 30 octobre 2000.
L’examen médical a confirmé les pronostics de Fidel, après sa chute accidentelle à la fin de la cérémonie d’hier : fracture du genou gauche et fissure de la partie supérieure de l’humérus du bras droit, lésions pour lesquelles il sera soumis au traitement adéquat.
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