Citas

"Les problèmes qui se poseront au monde de demain sont l'alimentation, la croissance incontrôlée de la population, la contamination de l'environnement, les problèmes énergétiques, la pénurie de ressources naturelles, le développement. Nous sommes convaincus que s'il ne règne pas un véritable climat de paix dans le monde, la solution de ces problèmes ne pourra même pas être envisagée".

Renvoi au texte original: Clôture de la Deuxième Session de L’assemblée Nationale du Pouvoir Populaire, le 24 décembre 1977

"Une importante espèce biologique risque de disparaître à cause de la liquidation rapide et progressive de ses conditions de vie naturelles : l’homme".

Renvoi au texte original: DISCOURS PRONONCÉ PAR FIDEL CASTRO À LA CONFÉRENCE DES NATIONS UNIES SUR L'ENVIRONNEMENT ET LE DÉVELOPPEMENT, À RIO DE JANEIRO (BRÉSIL), LE 12 JUIN 1992

"Elles ont empoisonné les mers et les fleuves, pollué l’air, affaibli et troué la couche d’ozone, saturé l’atmosphère de gaz qui altèrent les conditions climatiques et ont des effets catastrophiques dont nous commençons à souffrir".

Renvoi au texte original: DISCOURS PRONONCÉ PAR FIDEL CASTRO À LA CONFÉRENCE DES NATIONS UNIES SUR L'ENVIRONNEMENT ET LE DÉVELOPPEMENT, À RIO DE JANEIRO (BRÉSIL), LE 12 JUIN 1992

"La politique et l’économie mondiale étaient gérées si aveuglement et chaotiquement, qu’on ne connaissait ou l’on mentionnait guère, jusqu’à seulement quelques décennies, des concepts comme l’environnement, la diversité biologique, la préservation de la nature, la désertification, les trous de la couche d’ozone, les aléas climatiques. Sous un système de production déréglé et effréné, devenu à ce jour, domination impériale, hégémonique et unipolaire, d’importantes ressources ont été gaspillées, des ravages importants ont été causé à la nature, des modèles de consommation absurdes et intenables ont été créés, et qui sont le rêve sans espérance de l’immense majorité de ceux qui habitent aujourd’hui la planète et de ceux qui la habiteront demain".

Renvoi au texte original: DISCOURS PRONONCÉ PAR FIDEL CASTRO RUZ, PRÉSIDENT DU CONSEIL D'ETAT ET DES MINISTRES DE LA RÉPUBLIQUE DE CUBA À LA TRIBUNE OUVERTE DE LA RÉVOLUTION. SAN JOSÉ DE LAS LAJAS, LA HAVANE, CUBA. 27 DE JANVIER 2001

"Elle aura des retombées lourdement négatives sur la lutte pour le développement durable, la préservation de l’environnement et la protection de la nature face à la destruction impitoyable à laquelle elle est soumise et qui provoque l’empoisonnement des eaux et de l’air, l’amoindrissement de la couche d’ozone, la déforestation, la désertification, la disparition d’animaux et de plantes. Comment peut-on faire comme si tout ceci ne comptait pour rien?"

Renvoi au texte original: Intervention télévisée du Président de la République de Cuba, Fidel Castro Ruz, sur la situation internationale actuelle, la crise économique et mondiale et ses possibles conséquences pour Cuba, le 2 novembre 2001

"Voilà une trentaine d’années à peine, très peu de gens dans le monde parlaient d’environnement. Les concepts ou les thèmes ayant à voir avec la destruction des forêts, l’érosion et la salinisation des sols, les changements climatiques, la couche d’ozone en train de s’amincir, d’énormes masses de glace en train de fondre, des villes et des nations entières vouées à disparaître fatalement, sous la mer, l’air et les eaux pollués, les mers surexploitées, semblaient des scénarios-catastrophes de scientifiques et des réalités non tangibles".

Renvoi au texte original: Allocution prononcée à la Tribune de la Révolution à l’occasion du quarante-neuvième anniversaire des attaques des casernes Moncada et Carlos Manuel de Céspedes, le 26 juillet 2002

"(...) bien des choses menacent aujourd’hui la vie sur la planète : les changements climatiques, la destruction de la couche d’ozone, le réchauffement de l’atmosphère, l’empoisonnement de l’air, des fleuves et des océans… Là-dessus, tous les peuples du monde ont une cause commune, Latino-Américains, Nord-Américains, Européens, tous les peuples".

Renvoi au texte original: Discours à la Faculté de droit, Université de Buenos Aires, L'Argentine, Le 26 Mai 2003