Citas

« On laissait le peuple dans l’ignorance parce que c’est seulement ainsi que les cliques politiques pouvaient se maintenir, que les mauvais gouvernements pouvaient se maintenir, qu’une tyrannie sanguinaire pouvait se maintenir. »

Renvoi au texte original: Au meeting organisé sur l’avenue Michellson, à Santiago de Cuba, 11 mars

“Les colonies n’ont pas de voix. Les colonies n’ont pas l’occasion de s’exprimer. Voilà pourquoi le monde ne savait pas que nous étions une colonie, le monde ne connaissait pas nos problèmes”. 

Renvoi au texte original: Discours prononcé au siège des Nations Unies, New York, le 26 septembre 1960

"Les peuples d’Amérique se sont libérés du colonialisme espagnol au début du siècle passé, mais ils ne se sont pas libérés de l’exploitation. Les grands propriétaires terriens féodaux ont assumé l’autorité des gouvernants espagnols, les Indiens ont continué à subir un servage pénible, l’homme latino-américain, d’une manière ou d’une autre, est resté esclave, et les maigres espoirs des peuples se sont dissipés sous le pouvoir des oligarchies et la domination du capital étranger".

Renvoi au texte original: DISCOURS DE FIDEL CASTRO RUZ À LA DEUXIÈME ASSEMBLÉE GÉNÉRALE NATIONALE DU PEUPLE DE CUBA, PLACE DE LA RÉVOLUTION, 4 FÉVRIER 1962

"Quelle est l’attitude de l’impérialisme yankee face à cette réalité, objectivement et historiquement inexorable, de la révolution latino-américaine ? Se préparer à livrer une guerre coloniale contre les peuples d’Amérique latine, créer son appareil de coercition, les prétextes politiques et les pactes pseudo-légaux souscrits avec les représentants des oligarchies réactionnaires, pour écraser à feu et à sang la lutte des peuples latino-américains".  

 

Renvoi au texte original: DISCOURS DE FIDEL CASTRO RUZ À LA DEUXIÈME ASSEMBLÉE GÉNÉRALE NATIONALE DU PEUPLE DE CUBA, PLACE DE LA RÉVOLUTION, 4 FÉVRIER 1962

«Car nous ne voulons pas redevenir des esclaves et nous ne le redeviendrons jamais ! Que ceux qui ont un cou pour porter le joug, eh bien, qu’ils le tendent, qu’ils aillent servir ceux qui passent le joug et ceux qui exploitent ! Nous, qui n’avons pas de chevilles pour porter les fers de l’esclave, ni de nuque pour porter le joug, nous ne redeviendrons jamais esclaves, et nous paierons le prix de la liberté aussi cher qu’il le faudra !»

Renvoi au texte original: Discours prononcé par Fidel Castro Ruz pour la fête du travail, Place de la Révolution, le 1er mai 1962
“Malgré les mensonges et les calomnies, malgré la répression et la force, malgré la propagande et les crimes impérialistes, les ouvriers et les paysans cubains ont enterré à jamais, tel un cadavre qui ne pourra pas ressusciter, la société capitaliste.
Renvoi au texte original: Au meeting dans le stade Lénine de Moscou (URSS), 23 mai 1963
“Les États-Unis ont fait de nombreux efforts pour détruire le nationalisme portoricain, pour détruire la culture portoricaine, pour détruire toutes les caractéristiques du peuple portoricain.
Renvoi au texte original: Au meeting de bienvenue à la délégation ayant pris part aux Dixièmes Jeux sportifs centraméricains et caribéens, sur le Stade latino-américain (La Havane), 29 juin 1966