Citas

«(...) que le degré de conscience qui s’est développé dans ce peuple est vraiment admirable, le civisme de ce peuple, la discipline de ce peuple, l’esprit de ce peuple. Je me sens vraiment orgueilleux de ce peuple. J’ai une confiance extraordinaire dans le peuple cubain. Il vaut la peine de se sacrifier pour notre peuple».

Renvoi au texte original: Discours prononcé à son arrivée à La Havane, le 8 janvier 1959
Si l’or pouvait plus que l’idéal, la patrie serait perdue, parce que ce n’est pas l’or qui manque à nos ennemis pour acheter les consciences. Et pourtant tout l’or de nos ennemis ne réussit pas à acheter la conscience d’un révolutionnaire !
Renvoi au texte original: À la clôture du Congrès de travailleurs du bâtiment (La Havane), 29 mai 1960

"Nous voulons que l’organisation des pionniers soit une grande organisation ; que nos enfants soient ceux qui étudient le plus, qui se tiennent le mieux, qui soient les mieux organisés, qui soient les plus heureux. Nous voulons être toujours fiers de nos enfants, nous voulons voir les enfants comprendre, contribuer à faire la Révolution, être de vrais révolutionnaires".

Renvoi au texte original: Discours l’Inauguration du Palais des Pionniers, le 6 janvier 1962

“La Révolution exalte le rôle, la fonction du maître. Elle s’efforce bien entendu d’élever aussi les conditions subjectives du corps professoral, sa conscience révolutionnaire”.

Renvoi au texte original: Discours prononcé à la Clôture du Troisième Congrès National des Conseils Municipaux d’éducation, le 10 septembre 1962

"Nous sommes aujourd’hui la communauté humaine qui a atteint le degré le plus élevé de conscience et de niveau politique sur ce continent. Nous sommes le premier Etat socialiste ! Les derniers hier, les premiers aujourd’hui dans la marche vers la société communiste de l’avenir, vers la véritable société de l’homme pour l’homme, de l’homme frère de l’homme!"

 

Discours et interventions : Pour la célébration des cents ans de lutte, à  la Demajagua, Monument national, Manzanillo, province d’Oriente, le 10 octobre 1968.

Renvoi au texte original:
”Il est indispensable que nous créions la conscience du travail. Parce que le capitalisme a crée la conscience de l’exploitation du travail, pas la conscience de la nécessité du travail pour le bien-être de la société”
Renvoi au texte original: Discours lors de la visite réalisée à l’école primaire Meses, Las Villas. 15 septembre 1971.

Dans notre pays, la force de la Révolution, c’est l’unité ! […] Mais les forces révolutionnaires doivent être clairement conscientes de l’importance de l’unité… »

Renvoi au texte original: Conversation avec des étudiants de l’Université du Chili, à Antofagasta, le 12 novembre 1971