Citas

"Les peuples d’Amérique se sont libérés du colonialisme espagnol au début du siècle passé, mais ils ne se sont pas libérés de l’exploitation. Les grands propriétaires terriens féodaux ont assumé l’autorité des gouvernants espagnols, les Indiens ont continué à subir un servage pénible, l’homme latino-américain, d’une manière ou d’une autre, est resté esclave, et les maigres espoirs des peuples se sont dissipés sous le pouvoir des oligarchies et la domination du capital étranger".

Renvoi au texte original: DISCOURS DE FIDEL CASTRO RUZ À LA DEUXIÈME ASSEMBLÉE GÉNÉRALE NATIONALE DU PEUPLE DE CUBA, PLACE DE LA RÉVOLUTION, 4 FÉVRIER 1962

“Plus l’humanité s’approchera-t-elle de l’ère où disparaîtra l’exploitation de l’homme par l’homme, et plus elle mettra son espoir dans la paix et plus grandes seront ses aspirations en ce sens. Par ailleurs, à aucun autre moment de l’histoire humaine, la paix n’a été plus nécessaire, car jamais la guerre n’a signifié autant de destructions et de morts. Jamais dans l’histoire humaine, les conséquences de la guerre n’ont été plus terribles.”

Renvoi au texte original: Discours prononcé à la cérémonie de remise du Prix Lénine de la Paix, Théâtre Chaplin, le 19 mars 1962

«(…) plus l’humanité s’approchera-t-elle de l’ère où disparaîtra l’exploitation de l’homme par l’homme, et plus elle mettra son espoir dans la paix et plus grandes seront ses aspirations en ce sens».

Renvoi au texte original: Discours prononcé à la cérémonie de remise du Prix Lénine de la Paix, Théâtre Chaplin, 19 mars 1962

«Car nous ne voulons pas redevenir des esclaves et nous ne le redeviendrons jamais ! Que ceux qui ont un cou pour porter le joug, eh bien, qu’ils le tendent, qu’ils aillent servir ceux qui passent le joug et ceux qui exploitent ! Nous, qui n’avons pas de chevilles pour porter les fers de l’esclave, ni de nuque pour porter le joug, nous ne redeviendrons jamais esclaves, et nous paierons le prix de la liberté aussi cher qu’il le faudra !»

Renvoi au texte original: Discours prononcé par Fidel Castro Ruz pour la fête du travail, Place de la Révolution, le 1er mai 1962
”Il est indispensable que nous créions la conscience du travail. Parce que le capitalisme a crée la conscience de l’exploitation du travail, pas la conscience de la nécessité du travail pour le bien-être de la société”
Renvoi au texte original: Discours lors de la visite réalisée à l’école primaire Meses, Las Villas. 15 septembre 1971.

“Comme révolutionnaire, je ne peux rien moins que m'en réjouir, parce que je pense que non seulement l’exploitation de certaines nations par d'autres mais également toute forme d'exploitation de l'homme par l'homme”.

Renvoi au texte original: Clôture de la troisième réunion ministérielle du bureau de coordination du Mouvement des Pays Non Alignés, Santa María del Mar, 19 Mars 1975

"La Révolution nous a inculqués à tous l'idéal de la fraternité et de la solidarité humaine. Elle a fait de nous tous des frères inséparables, pour qui le sang de chacun appartient à tous et le sang de tous appartient à chacun. Mais si la douleur est de tous, si le deuil est de tous, la force invincible et puissante de millions de personnes est notre force. Et notre force n'est pas seulement la force d'un peuple, mais la force de tous les peuples qui se sont déjà affranchis de l'esclavage et celle de tous ceux qui, de par le monde, luttent pour extirper du sein de la société humaine l'exploitation, l'injustice et le crime!"

Renvoi au texte original: ALLOCUTION À LA CÉRÉMONIE DE DEUIL POUR LES VICTIMES DE L’ATTENTAT CONTRE UN AVION DE PASSAGERS CUBAIN, PERPÉTRÉ LE 6 OCTOBRE 1976, SUR LA PLACE DE LA RÉVOLUTION, LE 15 OCTOBRE 1976