Le seul espoir de la contre-révolution pour conquérir le pouvoir, comme elle sait qu’elle n’a pas la moindre chance de le faire avec le peuple, c’est l’aide étrangère ; les contre-révolutionnaires sont donc avant tout des traîtres à leur patrie, des adulateur de l’étranger, des entremetteuses qui susurrent à l’oreille du puissant étranger pour voir si, fort de toutes ses ressources, il instaure de nouveau ici, sur le sol de la patrie, la contre-révolution.
Discours et interventions : Au Palais présidentiel, le 22 mars 1959.