Citas
“(…) ce sont eux qui ont entre les mains tous nos enfants, qui doivent leur apprendre et les orienter. Si nous voulons que notre Révolution aille très loin, nous devons aussi aller très loin dans la formation d’une génération de maîtres”.
“La Révolution exalte le rôle, la fonction du maître. Elle s’efforce bien entendu d’élever aussi les conditions subjectives du corps professoral, sa conscience révolutionnaire”.
« À Cuba, le cauchemar social et humain que j’avais dénoncé en 1953 et qui avait donné lieu à notre lutte a été balayé en quelques années après la victoire de 1959. Très tôt, il n’y eut plus […] d’enfants mal nourris, nu-pieds et rongés de parasites, sans écoles ou sans instituteurs, même sous un arbre; ils ne moururent plus massivement de faim, de maladie ou de manque de ressources ou de soins médicaux. Les longs mois de la morte-saison disparurent. On ne vit plus d’hommes et de femmes sans travail dans les campagnes. »
«Il faut maintenir dans nos salles de classe les professeurs qui y sont aujourd’hui, en augmenter les réserves, veiller jalousement sur les jeunes ressources humaines que nous avons formées ces années-ci, en insistant sur leur professionnalisme et leur perfectionnement ; continuer d’analyser les transformations auxquelles l’enseignement technique et professionnel et le deuxième cycle du secondaire doivent être forcément soumis ; perfectionner l’universalisation de l’enseignement supérieur ; faire en sorte que toutes les universités du pays s’acheminent, à partir de cette idée, à l’excellence pédagogique et révolutionnaire que le pays demande à ses étudiants et professeurs universitaires».
"Quelle est la morale d’un révolutionnaire ? Toute pensée révolutionnaire débute par un peu de morale, par un peu de valeurs. À cet égard, les parents, les professeurs jouent un grand rôle. Le révolutionnaire n’a pas ces idées infuses, pas plus qu’il ne naît en sachant déjà parler. Quelqu’un doit le lui apprendre. L’influence de la famille est aussi très grande".
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