Citas

« Nous concevons la Révolution comme quelque chose de vraiment créateur, comme quelque chose qui ne doit pas cesser une minute, comme un essor incessant des idées, comme un dépassement incessant des idées, quelque chose au cours duquel on fait toujours plus et toujours mieux chaque jour, chaque mois, chaque année. »
Renvoi au texte original: À la remise de diplômes à trois cents instructrices révolutionnaires destinées aux écoles du soir pour jeunes femmes encore domestiques (La Havane), 16 mars 1962

“(…) ce sont eux qui ont entre les mains tous nos enfants, qui doivent leur apprendre et les orienter. Si nous voulons que notre Révolution aille très loin, nous devons aussi aller très loin dans la formation d’une génération de maîtres”.

Renvoi au texte original: Discours prononcé par Fidel Castro Ruz au Centre vocationnel pour instituteurs Sierra Maestra, à Minas del Frío, le 17 juin 1962
“Pour une Révolution qui aspire à changer radicalement la vie d’un pays et à bâtir une société nouvelle, qu’est-ce qui est le plus important ? L’instituteur. L’instituteur est le plus important dans une Révolution.
Renvoi au texte original: 17 juin 1962. Au Centre pédagogique de Sierra Maestra, à Minas del Frío, 17 juin 1962. Au Centre pédagogique de Sierra Maestra, à Minas del Frío

“La Révolution exalte le rôle, la fonction du maître. Elle s’efforce bien entendu d’élever aussi les conditions subjectives du corps professoral, sa conscience révolutionnaire”.

Renvoi au texte original: Discours prononcé à la Clôture du Troisième Congrès National des Conseils Municipaux d’éducation, le 10 septembre 1962

« À Cuba, le cauchemar social et humain que j’avais dénoncé en 1953 et qui avait donné lieu à notre lutte a été balayé en quelques années après la victoire de 1959. Très tôt, il n’y eut plus […] d’enfants mal nourris, nu-pieds et rongés de parasites, sans écoles ou sans instituteurs, même sous un arbre; ils ne moururent plus massivement de faim, de maladie ou de manque de ressources ou de soins médicaux. Les longs mois de la morte-saison disparurent. On ne vit plus d’hommes et de femmes sans travail dans les campagnes. »

 

Renvoi au texte original: Pour le cinquantième anniversaire de l’attaque des casernes Moncada et Carlos Manuel de Céspedes, 26 juillet 2003

«Il faut maintenir dans nos salles de classe les professeurs qui y sont aujourd’hui, en augmenter les réserves, veiller jalousement sur les jeunes ressources humaines que nous avons formées ces années-ci, en insistant sur leur professionnalisme et leur perfectionnement ; continuer d’analyser les transformations auxquelles l’enseignement technique et professionnel et le deuxième cycle du secondaire doivent être forcément soumis ; perfectionner l’universalisation de l’enseignement supérieur ; faire en sorte que toutes les universités du pays s’acheminent, à partir de cette idée, à l’excellence pédagogique et révolutionnaire que le pays demande à ses étudiants et professeurs universitaires».

Renvoi au texte original: Allocution à la clôture du Huitième Congrès de l’Union des jeunes communistes, le 5 décembre 2004, au Palais des congrès de La Havane

"Quelle est la morale d’un révolutionnaire ? Toute pensée révolutionnaire débute par un peu de morale, par un peu de valeurs. À cet égard, les parents, les professeurs jouent un grand rôle. Le révolutionnaire n’a pas ces idées infuses, pas plus qu’il ne naît en sachant déjà parler. Quelqu’un doit le lui apprendre. L’influence de la famille est aussi très grande".

Renvoi au texte original: ALLOCUTION DE FIDEL CASTRO RUZ, PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE DE CUBA, POUR LE SOIXANTIÈME ANNIVERSAIRE DE SON ENTRÉE À L’UNIVERSITÉ, DANS LE GRAND AMPHI DE L’UNIVERSITÉ DE LA HAVANE, LE 17 NOVEMBRE 2005