Citas

"Je pense que ce dont les peuples ont besoin, ce n'est pas tant d'armes que d'idées. Pour substituer à une mondialisation inhumaine, intenable, qui menace la vie de la planète, un ordre social juste et humanitaire, qui offre à l'humanité l'occasion de survivre, un monde qui puisse avoir un peu d'eau potable, un monde qui dispose d'air pour respirer, un monde qui puisse disposer des aliments nécessaires, un monde qui soit capable, grâce à sa riche technologie, de produire les toits dont les personnes ont besoin pour vivre, les écoles dont les enfants ont besoin pour s'éduquer, les médicaments dont les habitants ont besoin pour protéger leur santé, les soins médicaux dont tout le monde a besoin, les enfants, les jeunes et les personnes âgées".

Renvoi au texte original: Allocution prononcée par Fidel Castro Ruz, premier secrétaire du Comité central du Parti communiste de Cuba, président du Conseil d'Etat et président du Conseil des ministres, lors de la remise de médaille José Bonifacio (grade de Grand Officier) à l'Univ

"Une école excellente que Cuba, le pays en butte au blocus et pauvre, a pu organiser en très peu de temps, non parce que nous avons de l'argent - nos ressources financières sont au contraire très limitées - mais parce que nous disposons d'un grand capital humain. D'un grand capital humain !"

Renvoi au texte original: Allocution prononcée par Fidel Castro Ruz, premier secrétaire du Comité central du Parti communiste de Cuba, président du Conseil d'Etat et président du Conseil des ministres, lors de la remise de médaille José Bonifacio (grade de Grand Officier) à l'Univ

"Nous nous sentons fiers de notre médecine. Nous continuerons de confier en l'honnêteté de nos médecins. Qu'aucun ne se laisse séduire par la tentation de privilégier quelqu'un qui lui fait un cadeau. Le médecin n'a pas de raison de refuser un cadeau qu'on lui donne par reconnaissance; mais ce qu'un médecin cubain ne peut jamais faire, c'est discriminer un citoyen dans notre pays parce que celui-ci n'a pas le moyen de lui faire un cadeau et n'a pas l'habitude de le faire.Que la corruption ou les dessous de table ne s'introduisent dans les rangs de nos travailleurs de la santé!"

Renvoi au texte original: Allocution à la remise de Diplômes aux élèves de l'institut Supérieur de Sciences Médicales. La Havane, théâtre Karl Marx, le 9 août 1999

Le plus important, ce sera votre consécration totale au plus noble et au plus humain des métiers: sauver des vies  et préserver la santé. Plutôt que des médecins, vous devrez être des gardiens zélés de ce que l’être humain a de plus précieux, des apôtres et des créateurs d’un monde plus humain.

Renvoi au texte original: À l’inauguration de l’Ecole latino-américaine de sciences médicales

Nous avons confiance en eux et nous exprimons la conviction qu’ils seront meilleurs que leurs prédécesseurs et que leurs actuels professeurs, ceux qui leur inculquent des connaissances scientifiques et les expériences accumulées quarante ans durant, aussi bien à Cuba qu’à l’étranger . Ceux qui ont prêté des services héroïques et désintéressés dans des pays du tiers monde de tous les continents. Des médecins en disposition d’exercer là où ils sont nécessaires, dans des endroits les plus isolés du monde et où d’autres ne sont pas prêts à s’y rendre. Voilà le médecin qui sera formé dans cette École.

Renvoi au texte original: ALLOCUTION DE FIDEL CASTRO, PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE DE CUBA À L'INAUGURATION DE L’ÉCOLE LATINO-AMERICAINE DES SCIENCES MÉDICALES À L’OCCASION DU IX SOMMET IBÉRO-AMÉRICAIN. LA HAVANE, 15 NOVEMBRE 1999
L’intelligence est le plus grand trésor. L’intelligence cultivée, le capital humain, voilà ce qui nous permet de parler des milliers de médecins aidant d’autres pays.
Renvoi au texte original: À l’inauguration de l’imprimerie Alejo Carpentier (La Havane), 27 avril 2002

« À Cuba, le cauchemar social et humain que j’avais dénoncé en 1953 et qui avait donné lieu à notre lutte a été balayé en quelques années après la victoire de 1959. Très tôt, il n’y eut plus […] d’enfants mal nourris, nu-pieds et rongés de parasites, sans écoles ou sans instituteurs, même sous un arbre; ils ne moururent plus massivement de faim, de maladie ou de manque de ressources ou de soins médicaux. Les longs mois de la morte-saison disparurent. On ne vit plus d’hommes et de femmes sans travail dans les campagnes. »

 

Renvoi au texte original: Pour le cinquantième anniversaire de l’attaque des casernes Moncada et Carlos Manuel de Céspedes, 26 juillet 2003