Citas

“Et que font d’autres pays, bien d’autres pays du Tiers-monde, de leurs ressources naturelles ? Ils les ont bradées aux impérialistes, ils les ont mises aux mains des monopoles impérialistes… La plus grande misère les attend à l’avenir au milieu des grandes habitudes que le capitalisme, le colonialisme et l’impérialisme y ont inculquées à une minorité.
Renvoi au texte original: Au meeting populaire d’adieu sur l’Esplanade d’Afrique, à Alger, 16 mai 1972
En ces années cruciales, la puissance capitaliste la plus forte et possédant le plus de ressources de tous les temps s’est payée le luxe de vivre en parasite aux dépens de l’épargne du reste du monde qui s’est vu contraint non seulement d’éponger ses déficits fiscaux et commerciaux sans précédent dans l’Histoire, mais aussi de financer un course aux armements elle aussi sans parallèle.
Renvoi au texte original: À l’inauguration de la Sixième Réunion ministérielle du Groupe des 77, 20 avril 1987

"(...) réclamons -et ce pour quoi nous devons lutter-, c’est pour que la mondialisation inévitable qui se développe aujourd’hui en vertu d’une loi de l’Histoire, soit la mondialisation de la fraternité et de la coopération entre tous les peuples, de la globalisation du développement durable, de la distribution juste et de la mise en valeur rationnelle des abondantes richesses matérielles et spirituelles, que l’Homme est capable de créer avec ses mains et son intelligence, condition indispensable pour l’avènement de la patrie commune inéluctable d’une Humanité qui peut et doit perdurer".

Renvoi au texte original: DISCOURS PRONONCÉ PAR FIDEL CASTRO À LA RÉUNION DES CHEFS D’ÉTAT OU DE GOUVERNEMENT DU CARIFORUM, Saint-Domingue (République dominicaine), 21 août 1998

“La mondialisation néo-libérale détruit rapidement la nature, empoissonne l’air et l’eau, contribue à la déforestation, désertifie et érode les sols; épuise et gaspille les ressources naturelles, change le climat”.

Renvoi au texte original: ALLOCUTION DE FIDEL CASTRO AU DOUZIÈME SOMMET DES PAYS NON ALIGNÉS, 2 septembre 1998

“Et un jour ne nous séparerons plus les origines ethniques, le chauvinisme ni les frontières, les fleuves ni les mers, les océans ni les distances. Nous serons, par-dessus de tout, des êtres humains appelés à vivre inévitablement dans un monde globalisé mais réellement juste, solidaire et pacifique”.

Renvoi au texte original: ALLOCUTION DE FIDEL CASTRO AU DOUZIÈME SOMMET DES PAYS NON ALIGNÉS, 2 septembre 1998

«Certains, en proie à l'angoisse, à l'incertitude et au doute, cherchent des solutions de substitution éclectiques. Or, face à une mondialisation néolibérale, déshumanisée, moralement et socialement indéfendable, écologiquement et économiquement intenable, le monde n'a pas d'autre choix qu'une distribution juste des richesses que les êtres humains créent de leurs mains laborieuses et de leur intelligence féconde.»

Renvoi au texte original: Discours prononcé pour le quarantième anniversaire de la Révolution, place Céspedes (Santiago de Cuba), le 1er janvier 1999

""Quelle type de mondialisation avons-nous aujourd’hui ? Une mondialisation néoliberale ? C’est ainsi que nombreux d’entre nous l’appelons. Est-elle soutenable ? Non".".

Renvoi au texte original: Allocution prononcée par Fidel Castro Ruz, président du Conseil d’État de la République de Cuba, au Grand Amphithéâtre de l'Université centrale du Venezuela, le 3 février 1999