Citas

“L'impérialisme, le capitalisme, le fascisme, le néo-colonialisme, le racisme, l'exploitation bru­tale de l'homme par l'homme sous toutes ses formes et sous toutes ses manifestations, tou­chent à leur déclin dans l'histoire de l'humanité, et leurs serviteurs affolés le savent ; aussi leurs réactions sont-elles toujours plus désespérées, toujours plus hystériques, toujours plus cyni­ques, toujours plus impuissantes. Cela seul peut expliquer des crimes aussi répugnants et aussi gratuits que celui de la Barbade”.

Renvoi au texte original: ALLOCUTION À LA CÉRÉMONIE DE DEUIL POUR LES VICTIMES DE L’ATTENTAT CONTRE UN AVION DE PASSAGERS CUBAIN, PERPÉTRÉ LE 6 OCTOBRE 1976, SUR LA PLACE DE LA RÉVOLUTION

“Et elle fut balayée à jamais, l'idée loufoque que les souffrances endurées, que le sang et les larmes versés pendant presque cent ans de lutte pour l'indépendance et la justice contre le colonialisme espagnol et son modèle d'exploitation esclavagiste, d’abord, contre la domination impérialiste et les gouvernements corrompus et sanguinaires imposés à Cuba par les Etats-Unis, ensuite, devaient servir uniquement à restaurer une société néocolonialiste, capitaliste et bourgeoise.Nous l'avons fait au moment historique exact et précis, pas une minute avant, pas une minute après, et nous avons été assez audacieux pour le tenter”.

Renvoi au texte original:
"Durant les deux grandes guerres mondiales, les États-Unis reçurent leur sucre de Cuba ; ils avaient aussi accordé à notre pays des contingents d’exportation sur le marché, de pair avec des engagements commerciaux et des limitations de notre production agricole, alors qu’ils fabriquaient pourtant une partie de ce sucre. D’autres branches décisives de l’économie, comme les ports et les raffineries de pétrole, leur appartenaient aussi, ainsi que les grandes banques, les centres industriels, les mines, les ports, les lignes maritimes et ferroviaires, et des services publics aussi vitaux que l’électricité et le téléphone."
Renvoi au texte original: IL EST TEMPS DE FAIRE QUELQUE CHOSE, Le 19 janvier 2011

"La privatisation des richesses et des ressources naturelles d’un pays en échange d’investissements étrangers constitue un grand crime et équivaut au bradage bon marché, quasi gratuit, des moyens de vie des peuples du tiers monde et les conduit à une nouvelle forme de recolonisation plus commode et plus égoïste dans le cadre de laquelle les dépenses d’ordre public et d’autres essentielles, assumées autrefois par les métropoles, seront à la charge des autochtones".

Renvoi au texte original: Allocution prononcée par Fidel Castro Ruz, président de la République de Cuba, à la clôture des Cinquièmes Rencontres sur la Mondialisation et les Problèmes du Développement, au palais des Congrès (La Havane), le 14 février 2003