Citas

La République n’a pas été libre en 1895 et le rêve des mambis s’est frustré au dernier moment ; la Révolution ne s’est pas faite en 1933, escamotée par ses ennemis. Cette fois-ci, la Révolution a avec elle le peuple tout entier, tous les révolutionnaires, tous les militants honorables. Sa force est si grande et si irrépressible que cette fois-ci le triomphe est assuré !
Renvoi au texte original: Sur la place Céspedes, à Santiago de Cuba, 1er janvier 1959

«C’est maintenant que la Révolution démarre. La Révolution ne sera pas une tâche facile, la Révolution sera une entreprise dure et semée de dangers.»

Renvoi au texte original: Discours prononcé par Fidel Castro Ruz sur la place Céspedes, à Santiago de Cuba, le 1er janvier 1959
Il est important que le peuple sache et comprenne dès aujourd’hui que  la Révolution ne pourra pas se faire en un jour, ni en deux, ni en trois ; que nos maux ne se régleront pas du jour au lendemain ; qu’il faudra beaucoup travailler ; que, de même que nous n’avons pas gagné la guerre en un jour […] de même la Révolution devra se faire aussi pas à peu, peu à peu, et sans autre mot d’ordre, là encore, que la victoire.
Renvoi au texte original: À Sancti Spíritus (Las Villas), 6 janvier 1959
La destinée de Cuba doit être grande, parce que notre peuple s’est mis en branle, parce que notre peuple est debout et prêt à tout ; et quand les peuples se dressent comme s’est dressé le peuple cubain, quand les peuples se mettent en branle comme s’est mis en branle le peuple cubain avec son Armée rebelle à l’avant-garde, alors la voie est tracée.
Renvoi au texte original: Sur la place de la Liberté, à Matanzas, 7 janvier 1959

«(...) quand nous n’aurons plus l’ennemi en face, quand la guerre sera fini, les seuls ennemis de la Révolution, ce sera peut-être nous-mêmes"».

Renvoi au texte original: Discours prononcé à son arrivée à La Havane, le 8 janvier 1959

«(...) et s’il faut se battre un jour contre un ennemi étranger ou contre un mouvement qui s’oppose à la Révolution, ce n’est pas quatre pelés et un tondu qui se battront, ce sera le peuple entier!»

Renvoi au texte original: Discours prononcé à son arrivée à La Havane, le 8 janvier 1959

"Notre colonne la plus solide, notre meilleure troupe, la seule troupe capable de gagner la guerre à elle seule, c’est le peuple ! Aucun général ne peut plus que le peuple ; aucune armée ne peut plus que le peuple."

 

Discours et interventions : À son arrivée à La Havane, à la Cité Liberté, le 8 janvier 1959.

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