Citas

"On parle fréquemment des droits de l’homme, mais il faudrait aussi parler des droits de l’humanité. Pourquoi certains peuples doivent-ils aller nu-pieds pour que d’autres roulent dans des voitures de luxe ? Pourquoi certains ne doivent-ils vivre que trente-cinq ans pour que d’autres en vivent soixante-dix ? Pourquoi certains doivent-ils être misérablement pauvres pour que d’autres soient exagérément riches ? Je parle au nom des enfants qui, dans le monde, n’ont même pas un morceau de pain; je parle au nom des malades qui n’ont pas de médicaments ; je parle au nom de ceux auxquels on a refusé le droit à la vie et à la dignité humaine".

Renvoi au texte original: ALLOCUTION PRONONCÉE PAR FIDEL CASTRO RUZ, EN SA QUALITÉ DE PRÉSIDENT DU MOUVEMENT DES PAYS NON ALIGNÉS, À LA TRENTE-QUATRIÈME SESSION DE L’ASSEMBLÉE GÉNÉRALE DES NATIONS UNIES NEW YORK
"Il est essentiel, il est fondamental que les États et les gouvernements s’occupent dûment de la santé publique et lui accordent la priorité."
Renvoi au texte original: À l’ouverture des congrès de Pédiatrie Cuba/84
Nous devons proclamer de toutes nos forces que nous avons le droit de respirer de l’air pur, de boire de l’eau non polluée… à nous nourrir d’aliments salubres, à être éduqués, à être soignés, à être moins pauvres tandis que d’autres sont toujours plus riches.
Renvoi au texte original: À la Conférence des Nations Unies sur les établissements humains (Habitat-II) à Istambul (Turquie), 14 juin 1996

"Je pense que ce dont les peuples ont besoin, ce n'est pas tant d'armes que d'idées. Pour substituer à une mondialisation inhumaine, intenable, qui menace la vie de la planète, un ordre social juste et humanitaire, qui offre à l'humanité l'occasion de survivre, un monde qui puisse avoir un peu d'eau potable, un monde qui dispose d'air pour respirer, un monde qui puisse disposer des aliments nécessaires, un monde qui soit capable, grâce à sa riche technologie, de produire les toits dont les personnes ont besoin pour vivre, les écoles dont les enfants ont besoin pour s'éduquer, les médicaments dont les habitants ont besoin pour protéger leur santé, les soins médicaux dont tout le monde a besoin, les enfants, les jeunes et les personnes âgées".

Renvoi au texte original: Allocution prononcée par Fidel Castro Ruz, premier secrétaire du Comité central du Parti communiste de Cuba, président du Conseil d'Etat et président du Conseil des ministres, lors de la remise de médaille José Bonifacio (grade de Grand Officier) à l'Univ

« À Cuba, le cauchemar social et humain que j’avais dénoncé en 1953 et qui avait donné lieu à notre lutte a été balayé en quelques années après la victoire de 1959. Très tôt, il n’y eut plus […] d’enfants mal nourris, nu-pieds et rongés de parasites, sans écoles ou sans instituteurs, même sous un arbre; ils ne moururent plus massivement de faim, de maladie ou de manque de ressources ou de soins médicaux. Les longs mois de la morte-saison disparurent. On ne vit plus d’hommes et de femmes sans travail dans les campagnes. »

 

Renvoi au texte original: Pour le cinquantième anniversaire de l’attaque des casernes Moncada et Carlos Manuel de Céspedes, 26 juillet 2003
« La brigade Henry Reeve a été créée. Quelle que soit la tâche que vous entrepreniez dans n’importe quel recoin du monde ou sur notre terre, vous pourrez toujours vous glorifier d’avoir répondu courageusement et dignement à l’appel de la solidarité avec le peuple frère des Etats-Unis, en particulier avec ses plus modestes fils.

« En avant, généreux défenseurs de la santé et de la vie, vainqueurs de la douleur et de la mort ! »
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Renvoi au texte original: Allocution prononcée par Fidel Castro Ruz, président de la République de Cuba, au cours de sa réunion avec les médecins offerts en soutien au peuple étasunien dans les régions frappées par le cyclone Kratina, au palais des Congrès, le 4 septembre 2005

"Et Cuba est le seul pays au monde à avoir fait un pas en avant si profond à partir du moment où elle s'est décidée à connaître le nombre exact de ses handicapés".

Renvoi au texte original: Allocution prononcée par Fidel Castro Ruz, président de la République de Cuba, au meeting central pour le cinquante-troisième anniversaire de l'attaque des casernes Moncada et Carlos Manuel de Céspedes, sur la place de la Patrie de Bayamo (Granma)