Citas

“Cuba ne flanchera pas, Cuba ne reculera pas ; la Révolution ne s’arrêtera pas ; la Révolution ne reculera pas : la Révolution ira de l’avant, victorieuse ; la Révolution poursuivra sa marche, inébranlable! Voilà la promesse que nous faisons, non pas à ceux qui sont morts, parce que mourir pour la patrie c’est vivre13, mais aux compagnons dont nous garderons le souvenir comme de quelque chose à nous ; pas dans le souvenir ou dans le cœur de quelqu’un ou de quelques-uns, mais dans le seul souvenir indélébile : le souvenir ancré dans le cœur d’un peuple14.”

Renvoi au texte original: Discours prononcé aux funérailles solennelles des victimes su sabotage du cargo La Coubre

“Quelles que soient nos œuvres, aussi méritantes qu’elles puissent paraître, nous devons commencer par nous situer dans une position honnête : ne pas présumer en savoir plus que les autres, ne pas présumer avoir appris tout ce qu’on peut apprendre, ne pas supposer que nos vues sont infaillibles et que ceux qui ne pensent pas exactement pareil que nous se trompent.”

Renvoi au texte original: Allocution réalisée au terme des trois réunions tenues avec des intellectuels cubains (16, 23 et 30 juin 1961) à la Bibliothèque nationale José Martí, de La Havane, Le 30 juin 1961

“La force de la Révolution dépendra de nous, l’avancée de la Révolution dépendra de nous, les difficultés plus ou moins grandes de la Révolution ne dépendront de personne d’autre que de nous”.

Renvoi au texte original: Discours prononcé à la remise de diplômes à trois cents instructrices révolutionnaires destinées aux écoles pour domestiques, théâtre Chaplin, 16 Mars 1962

« La société nouvelle ne doit pas se fonder sur la peur ; les gens ne devront pas bien se conduire par peur de la loi, par peur de la punition, mais par amour des bonnes relations, par respect des relations qui doivent exister entre les êtres humains vivant en société ».

Renvoi au texte original: DISCOURS PRONONCÉ PAR FIDEL CASTRO RUZ EN HOMMAGE AUX MÈRES DES BOURSIERS, CITÉ SCOLAIRE LIBERTÉ, le 13 mai 1962

“(…) la pureté d’une révolution, la beauté d’une révolution, l’attrait d’une révolution, ce qui fait qu’elle brille comme un soleil, c’est l’attitude des jeunes”.

Renvoi au texte original: Discours prononcé du Premier Congrès National de l’union des élèves du Secondaire, Place de la Révolution José Martí, La Havane, 10 AOÛT 1962

“Ce qui la définit, c’est aussi bien l’appui des secteurs les plus sains d’un pays que la haine des secteurs les plus avilis et les plus corrompus”.

Renvoi au texte original: Discours prononcé du Premier Congrès National de l’union des élèves du Secondaire, Place de la Révolution José Martí, La Havane, 10 AOÛT 1962

“Qu’est-ce que le désarmement produirait aux États-Unis ? Qui s’y opposerait ? Les compagnies, les premières à être intéressées par les juteuses affaires qu’implique la guerre. Bien entendu, même dans le système capitaliste, on pourrait trouver des solutions s’il y existait vraiment la volonté d’en trouver autrement que par la fabrication d’armes. Mais cette voie-ci, pour tous les trafiquants d’armes, c’est la plus commode, d’où leur opposition à toute politique de paix. Sans parler du fait que les impérialistes souhaitent maintenir des forces suffisantes pour faire peur aux pays sous-développés, aux pays colonisés, ce qui explique pourquoi ils s’opposent catégoriquement à toute politique de paix.”

Renvoi au texte original: Discours prononcé du Premier Congrès National de la Fédération des Femmes Cubaines, Théâtre Chaplin, le 1 octobre 1962