Citas

"On assiste aujourd’hui, par ailleurs, à une grande destruction de ressources naturelles dans la société, dans l’humanité actuelles… Il s’en faut beaucoup encore que l’humanité découvre des sources de remplacement de cette énergie, et on détruit aujourd’hui le pétrole comme on a détruit avant les forêts."

 

Discours et interventions : À l’Université des sciences agricoles de Gödöllo (Hongrie), le 5 juin 1972.

Renvoi au texte original:

“On travaille aussi fortement à un autre programme: l’installation de groupes électrogènes dans des installations vitales de la production et des services pour garantir l’énergie électrique en cas de situation d’urgence, comme un phénomène météorologique, ou une catastrophe naturelle ou anthropique touchant notre pays.”

 

Discours et interventions : Pour la Fête internationale du travail, sur la place de la Révolution de La Havane, le 1er mai 2006.

Renvoi au texte original:

Pourquoi faut-il économiser de l’eau ? Non seulement parce que nous en avons besoin pour l’agriculture et l’arrosage de tous les hydroponiques et d’autres cultures agricoles, mais aussi comme une arme contre les croissantes sécheresses de notre pays où alternent les grandes pluies, les cyclones et les grandes sécheresses.

En économisant de l’eau, nous en disposerons pour l’agriculture et l’électricité que consomment tous ces moteurs qui fonctionnent sans cesse, nous économiserons des ressources et nous économiserons du carburant.

 

Discours et interventions : À la remise de cent un véhicules à l’Union électrique, le 5 mai 2006.

"Ce qui s’impose sur-le-champ, c’est une révolution énergétique qui consiste non seulement à remplacer toutes les ampoules à incandescence, mais aussi à recycler massivement tous les appareils électroménagers, les équipements commerciaux, industriels, de transport et à utilisation collective qui exigent, du fait de leur technologique antérieure, le double ou le triple d’énergie."
Renvoi au texte original: CE QUI S’IMPOSE SUR-LE-CHAMP, C’EST UNE RÉVOLUTION ÉNERGÉTIQUE, Le 30 avril 2007

"Le fait est que Bush et son groupe sont plus enferrés dans leurs erreurs de politique étrangère que Nixon lui-même quand il a démissionné en 1972. La guerre sanglante d’Iraq et son rejet par la population étasunienne, son coût en vies humaines, le nombre extrêmement élevé de blessés et de mutilés pour chaque mort dans cette équipée belliciste, indiquent une situation pleine de contradictions : la détérioration de l’image des USA et leur impossibilité à renoncer à des guerres de conquêtes pour s’approprier les matières premières ; le dollar et les cours de l’or ; la dévaluation de la monnaie et l’inflation ; la production d’éthanol et la pénurie mondiale d’aliments ; les méthodes fascistes et la démagogie démocratique ; les tortures et les prisons secrètes et les droits de l’homme ; la pollution maximale de l’environnement par ce pays et le droit de l’espèce à la survie ; les avantages de la science en faveur de la santé et son utilisation pour liquider ou invalider massivement les êtres humains ; le vol des cerveaux et le sous-développement des pays pauvres ; les cours du pétrole et le gaspillage d’énergie sans cesse accru ; les élections de novembre et les Latino-américains mourant à la frontière en toujours plus grand nombre… La liste serait interminable. C’est au fond la contradiction entre la vie et la mort".

Renvoi au texte original: RÉFLEXIONS "Assoiffé de sang" (II), 16 mars 2008