Citas

"Pas seulement de résister : de vaincre. Car nous n’aurions pas d’autre alternative maintenant que celle avec laquelle nous avons lancé la lutte révolutionnaire : la liberté ou la mort".

Renvoi au texte original: Discours prononcé par Fidel Castro Ruz aux funérailles solennelles des victimes su sabotage du cargo La Coubre, au cimetière de Colon, La Havane, 5 mars 1960

"Ces droits, nous les défendons ici-même, avec nos canons, nos chars, nos armées, nos divisions !"

Renvoi au texte original: Programme spécial de télévision pour expliquer les préparatifs du meeting relatif à la Deuxième Assemblée générale du peuple cubain, le 22 janvier 1962

"Nous avons de quoi défendre notre souveraineté. Nous avons pour ça des armes, et nous avons surtout le plus important : tout un peuple ! La souveraineté de Cuba, le principe de la non-ingérence, nous les défendons ici-même, tout d’abord, et nous-mêmes.  Mais je vous disais que Cuba ne livre pas cette bataille uniquement pour elle, elle la livre pour toute l’Amérique latine, parce que les autres peuples latino-américain, ou du moins beaucoup d’entre eux sont désarmés, sans défense, face à l’ingérence et à l’interventionnisme."

Renvoi au texte original: Programme spécial de télévision pour expliquer les préparatifs du meeting relatif à la Deuxième Assemblée générale du peuple cubain, le 22 janvier 1962

“Les peuples pensent très différemment, les peuples pensent que la seule chose incompatible avec les destinées de l’Amérique latine, c’est la misère, l’exploitation féodale, l’analphabétisme, les salaires de famine, le chômage, la politique de répression contre les masses ouvrières, paysannes et étudiantes, la discrimination de la femme, du Noir, de l’Indien, du métis, l’oppression des oligarchies, le pillage de leurs richesses par les monopoles yankees, l’asphyxie morale de leurs intellectuels et de leurs artistes, la ruine de leurs petits producteurs victimes de la concurrence étrangère, le sous-développement économique, les villages sans chemins, sans hôpitaux, sans logements, sans écoles, sans industries, la soumission à l’impérialisme, la renonciation à la souveraineté nationale et la trahison de la patrie”.

Renvoi au texte original: Discours à la Deuxième Assemblée Générale Nationale du Peuple de Cuba, Place de la Révolution, le 4 février 1962

“Si, derrière la patrie souveraine, si, derrière le drapeau libre, si, derrière la Révolution rédemptrice, il n’y avait pas un peuple résolu et héroïque comme celui-ci. Sans lui, la patrie ne serait pas libre, le drapeau ne serait pas souverain, la Révolution ne marcherait pas de l’avant avec cette fermeté si inébranlable!”

Renvoi au texte original: Discurso en la segunda asamblea nacional del pueblo de Cuba, celebrada en la Plaza de la Revolución

« Cuba ne serait pas où elle est, notre patrie n’occuperait pas la place qu’elle occupe dans le cœur des autres peuples du monde si, derrière la patrie, derrière le drapeau souverain de la patrie, derrière la Révolution, il n’y avait pas le peuple ! Si, derrière cette Révolution, il n’y avait pas le peuple ! »

Renvoi au texte original: DISCOURS DE FIDEL CASTRO RUZ À LA DEUXIÈME ASSEMBLÉE GÉNÉRALE NATIONALE DU PEUPLE DE CUBA, PLACE DE LA RÉVOLUTION
“Nous savons que rien ne pourra écraser la Révolution, mais nous savons aussi que chaque nouvel effort nous rend plus forts, rend notre Révolution plus forte, rend notre Révolution plus sûre, plus libre, rend notre peuple de plus en plus maître de ses destinées!”
Renvoi au texte original: Au début des activités de la Brigade de machines Ernesto Che Guevara.