Citas

J’ai confiance dans cet éveil formidable de notre continent. J’ai une confiance absolue dans l’avenir de ce continent. J’ai confiance et je peux même dire que je suis sûr que l’avenir de l’Amérique sera très différent de celui qu’il a été jusqu’à ce jour. Tout dépend de notre confiance, tout dépend de nos efforts, tout dépend de nous-mêmes.
Renvoi au texte original: Au Central Park de New York (USA), 24 avril 1959

“Le peuple étasunien sympathisait avec la lutte des Cubains. Cette Déclaration conjointe du Congrès avait force de loi et justifiait la déclaration de guerre contre l’Espagne. Mais ça n’a été qu’une illusion, une cruelle tromperie”. 

Renvoi au texte original: Discours prononcé par Fidel Castro Ruz au siège des Nations Unies, New York, le 26 septembre 1960

“Et voilà pourquoi des gouvernements de force se sont maintenus longtemps au pouvoir en Amérique latine et ils continuent de s’y maintenir. Bien entendu, tout dépend d’une circonstance : s’ils peuvent compter ou non sur l’appui du gouvernement étasunien…”.

Renvoi au texte original: Discours prononcé au siège des Nations Unies, New York, le 26 septembre 1960

“Le monde n’avait pas beaucoup de raisons de savoir que Cuba existait. Pour beaucoup, c’était quelque chose comme un appendice des États-Unis. Pour de nombreux citoyens de ce pays-ci, Cuba était même une colonie des États-Unis. Pas sur les cartes, bien entendu, parce que nous apparaissions sous une couleur différente, mais dans la réalité, oui, nous l’étions !”.

Renvoi au texte original: Discours prononcé par Fidel Castro Ruz au siège des Nations Unies, New York, le 26 septembre 1960

“Les Cubains, qui avaient lutté pour leur indépendance, qui continuaient de verser leur sang et de donner leur vie au moment de l’intervention des États-Unis, ont cru de bonne foi à la résolution que le Congrès avait votée le 20 avril 1898 et qui déclarait que Cuba « était de fait et devait être libre et indépendante ».”.

Renvoi au texte original: Discours prononcé par Fidel Castro Ruz au siège des Nations Unies, New York, le 26 septembre 1960

"Avec qui donc devions-nous avoir forcément des problèmes ? Avec les impérialistes yankees ! Nous n’avons pas eu de problèmes avec d’autres peuples. Ou plutôt, pas avec les peuples, car nous n’en avons pas eu avec le peuple étasunien. Et si nous avons eu des problèmes avec des gouvernements d’Amérique, c’est en fait à cause des monopoles qui les manipulent comme des marionnettes, comme des fantoches. Autrement dit, nous avons eu des problèmes avec les gouvernements qui sont inconditionnellement à la solde des monopoles yankees. Voilà donc l’histoire de notre Révolution. Notre peuple la connaît, et l’Amérique latine aussi".

Renvoi au texte original: Allocution le troisième Anniversaire de la Révolution Socialiste de Cuba, sur La Place de la Révolution, le 2 janvier 1962

"Plus les impérialistes s’efforcent de détruire cette Révolution, plus ils suscitent l’intérêt et l’admiration des peuples. C’est logique. Car les peuples comparent les forces de l’impérialisme et la force de Cuba. À notre époque contemporaine, c’est la première fois que les États-Unis n’arrivent pas à détruire une révolution, n’arrivent pas à faire plier un peuple. Et, devant ce phénomène nouveau, les peuples pensent, réfléchissent, analysent, et ils sympathisent toujours plus avec la Révolution cubaine !"

Renvoi au texte original: Programme spécial de télévision pour expliquer les préparatifs du meeting relatif à la Deuxième Assemblée générale du peuple cubain, le 22 janvier 1962