Torres, Raúl

Torres, Raúl

Chevauchée avec Fidel

On dit que sur la place ces jours-ci

On a vu chevaucher Camilo et Martí

Et devant la caravane

Lentement sans cavalier

Un cheval pour toi.

 

Reviennent les blessures qui ne se ferment pas

chez les hommes et les femmes, car nous ne te laisserons pas partir.

Aujourd’hui notre cœur bat la chamade,

et le peuple même s’il souffre se refuse à te dire adieu.

 

Ô homme, les êtres reconnaissants t’accompagnent

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