4 septembre 2005

"La Brigade Henry Reeve a été créée. Quelle que soit la tâche que vous réalisiez n’importe où dans le monde ou dans notre patrie, vous aurez toujours la gloire d’avoir répondu d’une manière courageuse et digne à l’appel lancé à la solidarité avec le peuple frère des États-Unis, en particulier avec ses enfants les plus modestes."

2 septembre

[…] Qu’a donc fait Cuba pour être condamnée ? Qu’a donc fait notre peuple pour mériter la Déclaration du Costa Rica ? Tout ce qu’a fait notre peuple, c’est briser ses chaînes ! (Applaudissements.) Tout ce qu’a fait notre peuple, sans porter préjudice à aucun autre peuple, sans rien enlever à aucun autre peuple, c’est lutter pour un destin meilleur ! Tout ce qu’a voulu notre peuple, c’est être libre !

29 de agosto de 1966

“Antes de tudo, a Revolução devia ganhar às consciências, e as consciências dos  trabalhadores foram ganhas para a Revolução à mesma medida em que a Revolução,  cada vez mais e mais, tornava-se Revolução dos trabalhadores; à mesma medida em que  a Revolução aprofundava-se, à mesma medida em que a luta de classes estourava com  toda a sua força”.

 

LE CHE

Je fais une trêve dans la lutte quotidienne pour m’incliner avec respect et gratitude devant le combattant exceptionnel qui est tombé un 8 octobre, voilà quarante ans. Devant celui qui traversa à la tête de sa colonne de guérilleros les terrains marécageux au sud des anciennes provinces d’Oriente et de Camagüey, poursuivie par des forces ennemies, devant le libérateur de Santa Clara, le créateur du travail bénévole, l’acteur de brillantes missions politiques à l’étranger, le messager de l’internationalisme militant dans l’Est du Congo et en Bolivie, le semeur de conscience dans notre Amérique et dans le monde.

LES COMBATS DE VILMA

Vilma est morte. Bien qu’attendue, la nouvelle m’a bouleversé. Par simple respect envers son état de santé délicat, je ne l’ai jamais mentionnée dans mes réflexions.

INTERVENTION TÉLÉVISÉE DE FIDEL CASTRO RUZ, PREMIER SECRÉTAIRE DU COMITÉ CENTRAL DU PARTI COMMUNISTE DE CUBA ET PRÉSIDENT DU CONSEIL D'ETAT ET DU CONSEIL DES MINISTRES, EN VUE D'ABORDER L'ACTUALITÉ NATIONALE, LE 1er NOVEMBRE 1999

La Proclamation de l'Assemblée nationale avec toutes ses conséquences juridiques, les dénonciations et les prises de position de la délégation cubaine aux Nations Unies, les batailles livrées contre les agressions internationales dont Cuba a été victime sur le terrain sportif, notre victoire aux Jeux panaméricains de Winnipeg malgré ces agressions, les courageuses positions de notre pays au sujet de la guerre génocide contre la Yougoslavie, la croissance de notre économie en 1999 par contraste avec la grave récession qu'enregistrent la plupart des pays de la région, le mouvement croissant aux Etats-Unis contre le blocus et les initiatives lancées par des personnalités éminentes du Sénat, l'incroyable exploit de notre peuple qui s'est récupéré en soixante-douze heures à peine des dégâts dramatiques causés par le cyclone qui nous a frappés voilà deux semaines, la visite du gouverneur de l'Illinois, l'imminence du Neuvième Sommet ibéro-américain et l'échec des tentatives pour le saboter, tout ceci a déchaîné l'hystérie et des réactions désespérées dans certains secteurs extrémistes des Etats-Unis et dans la maffia contre-révolutionnaire et terroriste de Miami.

Conclusions de Fidel Castro Ruz, président du Conseil d’Etat de la République de Cuba, au programme spécial sur le mouvement sportif national et international, le 3 septembre 1999

Un athlète olympique n'est pas un vulgaire instrument de prestige international, un objet qu'on achète et qu'on vend au marché, une marchandise dont on use et qu'on jette ensuite à la poubelle : c'est avant tout un être humain qui a un père et une mère, une femme et un fils, des frères, des amis, des admirateurs, qui est fier de la reconnaissance qu'il a obtenue au prix de ses efforts et de ses mérites exceptionnels. Qui a de l'honneur. Surtout de l'honneur.

Allocution à la remise de Diplômes aux élèves de l'institut Supérieur de Sciences Médicales. (La Havane, théâtre Karl Marx, le 9 août 1999)

Nous rêvons d'un avenir meilleur, d'un monde plus juste, d'un monde vraiment plus humain pour lequel nous avons tous le devoir de lutter. Votre avenir et celui de vos enfants sera l'avenir que l'humanité sera capable de construire. Cette humanité menacée par une série énorme de dangers de partout, qui ne donnent pourtant le droit à personne de perdre sa foi dans l'homme, de perdre sa foi dans une destinée meilleure pour elle.

Allocution prononcée par Fidel Castro Ruz, président des Conseils d’Etat et des ministres de la République de Cuba, sur la place de la Révolution, pour la Fête internationale du travail, le 1er mai 2001

Une nouvelle étape de lutte débutait. L’empire, bien plus puissant, était devenu l’unique superpuissance, mais notre peuple, récemment sortie du néocolonialisme, saturé de mensonges et de propagande maccarthyste, peu instruit et quasi analphabète du point de vue politique, avait fait un bond colossal dans l’Histoire : ayant éliminé l’analphabétisme et diplômé de centaines de milliers d’universitaires, il possédait une culture politique bien supérieure à celle de son adversaire historique.

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