Citas

“La crise économique veut dire en plus aggravation de problèmes très importants qui sont loin d’avoir été réglés : la pauvreté, la faim et les maladies qui tuent chaque année des dizaines de millions de personnes dans le monde ; l’analphabétisme, l’inculture, le chômage, l’exploitation du travail et la prostitution des millions d’enfants ; le trafic et la consommation de drogues, qui mobilisent et insufflent des centaines de milliards de dollars ; le blanchiment d’argent ; la pénurie d’eau potable ; le manque de logements, d’hôpitaux, de moyens de communication, d’écoles et de centres d’éducation”.

Renvoi au texte original: Intervention Télévisée sur la situation internationale actuelle, la crise économique et mondiale et ses possibles conséquences pour Cuba, 2 novembre 2001

"Notre pays, dès le triomphe même de la Révolution, n’a jamais fait obstacle à l’émigration légale de citoyens cubains aux Etats-Unis ou dans n’importe quel autre pays. Au triomphe de la Révolution, de nombreux Cubains, tout comme les autres habitants des Caraïbes et d’Amérique latine, victimes de la pauvreté et du sous-développement, aspiraient à émigrer à la recherche d’emplois mieux rémunérés et de meilleures conditions de vie matérielle que ceux que des nations soumises à des siècles d’exploitation et de pillage auraient jamais pu leur offrir. Jusqu’en 1959, les USA ne délivraient des visas qu’au compte-gouttes. Et c’est alors que, pour des raisons qui coulent de source, ils ont ouvert leurs portes à double battant".

Renvoi au texte original: Allocution à la Tribune anti-impérialiste José Martí, 27 Novembre 2001

"Comme j'ai déjà dit une fois, les armes de plus en plus sophistiquées stockées dans les arsenaux des plus puissants et riches, pourront tuer les analphabètes, les malades, les pauvres et les affamés, mais elles ne pourront pas tuer l'ignorance, les maladies, la pauvreté et la faim."

Renvoi au texte original: ALLOCUTION PRONONCEE PAR FIDEL CASTRO RUZ, PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE DE CUBA À LA CONFERENCE INTERNATIONALE SUR LE FINANCEMENT POUR LE DEVELOPPEMENT. MONTERREY, MEXIQUE. LE 21 MARS 2002

“Si les dirigeants accablés de notre monde complexe ont, entre maintes autres obligations, un devoir élémentaire – sans oublier la faim, la pauvreté, le sous-développement, les maladies qui déciment de régions entières, les changements climatiques et d’autres calamités – c’est bien de réfléchir et de méditer sur les racines profondes qui ont provoqué la dangereuse pandémie de terrorisme actuelle et d’appliquer des méthodes vraiment efficaces pour les éradiquer.”

Renvoi au texte original: Allocution prononcée au cours du meeting de protestation contre le blocus, les calomnies et les menaces de l’administration nord-américaine, sur la place Los Olivos, 25 Mai 2002

Prêtez donc des crédits aux pays pauvres pour qu’ils produisent de l’éthanol de maïs ou de tout autre type d’aliment, et il ne restera pas un seul arbre pour défendre l’humanité des changements climatiques !

Renvoi au texte original: Plus de trois milliards de personnes dans le monde condamnées à mourir prématurément de faim et de soif, 28 mars 2007

«L’ignorance, le sous-développement, la dépendance économique, la pauvreté, l’émigration de ceux qui cherchent du travail et sont expulsés de force, le vol de cerveaux et même les armes perfectionnées de la criminalité organisée ont été les conséquences des interventions et du pillage en provenance du Nord».

Renvoi au texte original: LE CHEVAL DE TROIE, Le 2 juin 2009

Le glas qui sonne aujourd’hui pour ceux qui meurent de faim tous les jours sonnera demain pour l’humanité entière si celle-ci ne veut pas, ne sait ou ne peut être assez sage pour se sauver elle-même.

 

Renvoi au texte original: Au Sommet mondial sur l’alimentation, au siège de la FAO (Rome).