Citas

« La seule, la vraie force dont disposent les Caraïbes, c’est l’unité. Ce n’est qu’en restant unis que nous pourrons nous défendre en tant que région et élargir notre union à l’Amérique centrale, à l’Amérique du Sud, à l’Afrique et aux peuples des autres continents. […] L’avenir ne dépend que de nous. »
Renvoi au texte original: Fidel intervient au Sommet du CARIFORUM, 21 août 1998

"(...) nous unir, non seulement entre nous qui sommes de la Caraïbe et de l'Amérique centrale, mais aussi avec ceux d'Amérique du Sud, car ils en ont besoin, eux, autant que nous (...)"

Renvoi au texte original: INTERVENTION À LA PREMIÈRE SÉANCE DE TRAVAIL DU SOMMET DES CHEFS D'ETAT ET DE GOUVERNEMENT DE L'ASSOCIATION DES ETATS DES CARAïBES (AEC). SAINT-DOMINGUE (RÉPUBLIQUE DOMINICAINE), 17 AVRIL 1999
"Nous sommes un petit peuple, mais où des millions de gens marchent unis, poussant dans la même direction, tirant dans la même direction. La Révolution est une immense charrette que nous devons tous pousser, tirer, haler. Ce serait de la folie que chacun commence à tirer dans une direction différente."
Renvoi au texte original: Pour le quarantième anniversaire de la première Loi de réforme agraire, 17 mai 1999.
“La somme de toutes nos cultures serait une énorme culture les multipliant toutes. L’intégration ne doit pas léser, mais au contraire enrichir, la culture de chacun de nos pays."
Renvoi au texte original: À la clôture du Premier Congrès international Culture et développement (La Havane)

“Ce que nous devons faire comme Latino-Américains, c'est tâcher de collaborer avec la Colombie, l'aider à instaurer une paix juste, une paix bénéfique à tous, bien entendu”.

Renvoi au texte original: Allocution prononcée à la clôture du Premier Congrès international Culture et développement, au palais des Congrès, 11 juin 1999

"Nous devons livrer une lutte, unis, nous devons travailler, unis, pour conscientiser, pour semer des idées".

Renvoi au texte original: Allocution lors de sa rencontre avec l'Union nationale des étudiants, à Belo Horizonte (Brésil), le 1er juillet 1999

“(…) je vous dis que nous ne vivons pas des temps où il faille penser à sa patrie à soi ! Il faut penser en termes de patrie latino-américaine et caribéenne. Qui est représentée ici aussi par l'intermédiaire de l'Organisation continentale latino-américaine des étudiants”.

Renvoi au texte original: Allocution lors de sa rencontre avec l'Union nationale des étudiants, à Belo Horizonte (Brésil), le 1er juillet 1999